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Ma perle du Pacifique

11 décembre 2015

De la déception amicale

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La couvade nous ramène souvent à des articles bisounours et autres fleurs bleues, cette fois-ci, ce sera plutôt gorge serrée et ventre noué.

Il y a des périodes, comme celle que je traverse en ce moment, où les hormones jouent au flipper. Cela nous rend parfois dingue. Ma grossesse est-elle responsable de mes maux ? (Nan j'parle pas des remontées acides et autres supplices de la maman en devenir, je vous passerai là les détails.)

La déception amicale. Celle qui s'insinue et qui fait mal. Celle qu'on aimerait laisser de côté, se remémorant qu'il faut se contenter du meilleur de chacun... Celle que l'on contre en justifiant les actes des uns. Celle que l'on justifie en y opposant nos propres erreurs.

Mais ce coup-ci, j'ai beau réfléchir, j'ai l'impression d'être clean. Mais à encore y réfléchir, je crois que je préférerai être moi-même responsable de mes maux, plutôt qu'on me les fasse subir. Des amitiés, on en a des tas. Des vraies, beaucoup moins. J'ai toujours fait la part des choses entre amis, connaissances, copains...

Il y a des amis qui blessent... Il y a des Amis qui font mal. Oh certainement sans le vouloir, inconsciemment. Ou pas. Là n'est pas la question. Mais le résultat, lui, est le même.

Se sentir oubliée, mise de côté. Pire, ne pas être dans du donnant-donnant. Un échange à sens unique. Peut-être suis-je trop exigeante ?

Ca se bouscule dans ma tête et dans mon coeur.

Mon problème dans tout cela, c'est que j'ai beau me dire qu'il faut que je me concentre sur le meilleur de ceux qui m'entourent et que j'oublie le reste, je suis tellement entière, que je sais que je n'oublierai pas et que, par conséquent, je n'aurai plus envie de donner autant.

Sale caractère va-t'on dire... Certainement, je le reconnais. Je suis consciente de tout un tas de choses, j'évolue, je grandis, mais personne ne pourra jamais me changer profondément.

Ce matin j'ai mal à mes tripes, et cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps de venir m'épancher par ici.

Allez je rentre dans mon trou de souris. La bise les amies.

PS : photo qui n'a rien à voir avec le shmilblick, mais au moins avec eux, je ne suis jamais déçue.

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4 septembre 2015

Séance ciné at home !

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Dimanche, retour de pic-nique entre copains, Mahina ne cesse de nous réclamer un ciné. Ni une, ni deux, en rentrant à la maison, action !

La mini est dans le bain, j'installe le cinéma... Volets fermés, pop corn prêt, caisse mise en place et tickets rapidement élaborés.

La tête de la puce en sortant de son bain... Passer par la caisse, acheter sa place de ciné et inviter son père, faire péter le bol de pop corn et terminer le week-end en mode cocooning-canapé-dessin-animé, le pied !

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4 septembre 2015

Le train-train festif !

 

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Le train-train, cette bête noire que tout le monde fuit, mais qui peut être si savoureux, avec un soupçon de douce "folie" !

Petite déjà, j'étais adepte du "petit truc" qui changeait le quotidien. Le cocktail de fruits frais de papa un dimanche soir, attention avec sucre sur le bord du verre et petit parapluie qui va bien hein ! La cabane dans le lit qui se termine en folie avec un véritable chateau fort érigé en deux en trois mouvements à l'aide de pinces à linge. Le dîner "repas ptit déj'" concocté par maman... C'est dingue comme le chocolat chaud et les tartines beurrées du matin prennent une autre saveur servis à 20h...

Aujourd'hui, cela faisant partie de moi, je l'applique dès que possible avec ma mini tribu.

Depuis deux semaines, Mahina me réclamait à corps et à cris "on fait un apéritiiiiiiiif maman ?!". C'est donc tout logiquement qu'en rentrant de la piscine l'autre soir, je lui avais concocté une table de fête avec un repas-apéro : mini croques, chips, rillettes de thon...peu importe, l'essentiel est d'y mettre de la couleur, du jeu, un esprit de fête !

J'ai gardé cet âme d'enfant et le regard de ma fille une fois la surprise découverte est la plus belle de mes récompenses !

24 juin 2015

14 juillet !

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Quatre ans !

Non, je ne suis pas une inconditionnelle de la fête nat'... Mais il se trouve que ce jour là, notre fille a eu la bonne idée, il y a quatre ans, de pointer le bout de son nez.

4h19, en plein hiver calédonien, cette petite fille est venue chambouler nos vies.

Quatre ans de souvenirs, de sourires, de pleurs, d'éclats de rire, de découvertes.

Quatre années d'une richesse inestimable, d'un amour inquantifiable.

Mais toi, ma toute petite plus si petite, que retiendras-tu de ces années ? Un ou deux souvenirs glânés ça et là dans les recoins de ta fonction mémoire en devenir... Des anecdotes racontées par papi/mami en fin de repas que tu te réappropieras, au point de ne plus distinguer si ce souvenir t'est propre ou s'il t'a été conté...

Concrètement ma quatre ans, tu ne te souviendras pas de grand chose de ces premières années pourtant essentielles à ta construction.

J'espère juste que notre amour, notre bienveillance, notre communication, notre éducation porteront leur fruit.

Que tu entames cette cinquième année gonflée de confiance et de curiosité...

Que ces heures passées à t'écouter, à t'expliquer, à te montrer, à répéter, à te choyer, à te gronder, à te porter, à te câliner, à t'observer, à te laisser découvrir la vie , feront font que tu es juste une petite fille heureuse, épanouïe et prête à croquer ta vie à pleines dents !

Mais ce qu'il y a de sûr ma chérie, c'est qu'à partir d'aujourd'hui, tu vas te construire toute une histoire pleine de souvenirs.

 

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Joyeux quatre ans ma Douce ! Moi aussi je t'aime aussi grand que les gros yeux de la baleine !

 

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24 juin 2015

Les piliers

Il y a les piliers, familiaux et/ou amicaux, les repères, les habitudes, les automatismes, toutes ces petites choses qui, quand votre monde vascille, sont là pour vous rassurer, vous conforter et réconforter.

Ces piliers ou bouées de sauvetage auxquelles nous nous raccrochont en cas de forte houle, de simples petits grains.

On est habitué à eux, on ne s'en dissossie pas, parfois même on les ignore complètement tant ils font partie de nous et de notre décor.

Et puis un jour...

Un jour on se rend compte que nos piliers ont changé. Bien sûr il y a les indispensables, les indécrottables, les essentiels. Ceux de toujours et de tous temps.

Mais lorsque le bateau tangue, on se dirige vers d'autres personnes, celles que l'on a choisies. Ce qui ne nous empêche pas de renier les autres. De les remercier aussi pour tout leur soutien dans les moments de doute, de crise, de peur.

Il y a juste eu un passage de relais, naturel, logique, limpide.

A la base il y avait des piliers, le plus souvent familiaux. Des personnes d'une même tribu qui vivent en cercle restreint. Puis chacun grandit, change, évolue, bouge... Et c'est alors, que le plus naturellement du monde, on se tourne vers d'autres en en qui on se retrouve, en qui on se voit à un moment précis de notre vie.

Qu'il est bon de s'enrichir de la sorte, humainement, socialement. Qu'il est doux de se laisser guider et de se rendre compte du chemin parcouru, sans jamais renier le point de départ. Une seule entité. Une seule personne qui appartient toujours à la même histoire.

Je crois que j'ai coupé le cordon. C'est grave docteur ?

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4 mai 2015

Pailles d'or surpriiiiiiise

L'hiver arrive et avec lui son lot d'envies cooconesques !

Bonne(S) bouffe(S), plaid sur canapé et ambiance cosy.

On a lancé la saison des gâteaux dans la family hier, avec un ptit nouveau que je ne peux que partager, tant son succès a été fouuuu !

On a tous des pailles d'or qui traînent parfois dans le placard à douceurs... Hé bien, voici le moyen de les rendre irrésistible pour toute la famille :

- 18 Pailles d'or (varier selon la gourmandise de chacun) à la framboise

- 30 cl de lait

- 1 gousse de vanille

- 3 jaunes d'oeuf

- 60 gr de sucre en poudre

- 40 gr de farine

- 30 gr de beurre

- Sucre glace.

Porter le lait à ébullition ,sur feu doux, dans une casserole, avec la gousse de vanille fendue en deux dans la longueur et grattée.

Pendant ce temps, fouetter les jaunes d'oeuf et le sucre, jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajouter la farine, bien mélanger, puis verser le lait bouillant, en filet, sans cesser de fouetter.

Verser la préparation dans la casserole et cuire à feu doux en fouettant sans arrêt et jusquà ce que la crème épaipisse. Retirer ensuite du feu et verser dans un saladier. Ajouter le beurre en morceaux, bien mélanger, filmer en surface et laisser refroidrir.

Mettre la crème froide dans une poche à douille munie d'une douille lisse (ou pas !). Recouvrir les pailles d'or d'un trait de crème.

Superposer ensuite les biscuits garnis de crème et recouvrir d'un biscuit sans crème. Déposer le millefeuille ou les mini-millefeuilles (en fonction du montage) dans un plat et saupoudrez de sucre glace. réserver au frais avant de servir.

Pour les Calédos, gâteau à privilégier en hiver, la crème étant quasi-impossible à maintenir en étééééé !

Notre petite touche perso a été de rajouter des cranberries pour la couleur et le goût.

Tadaaaaaaaa !

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14 avril 2015

Coming out

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Quatre ans. Quelques centaines de lignes écrites, devrais-je dire des milliers si je compte les premières successions de mots, les premiers essais de sentiments couchés sur le papier.

L'écriture m'habite depuis toute petite. D'abord, parce qu'il était plus facile pour moi d'écrire que de parler. Ensuite, parce je trouvais que les mots, une fois écrits, avaient plus de portée, de puissance, de force. Peut-être m'étais-je déjà rendue compte que l'écoute est bien difficile et que finalement l'écrit permet aux gens de ne pas se contenter d'entendre.

Il y a eu ces années d'enfance, d'adolescence et ces pages noircies. Puis ce jour où je me suis dit que je pourrais en faire un métier. J'y suis arrivée et plutôt bien. Sauf que j'ai vite déchanté. Ce que je voulais moi, c'était raconter des histoires. Des jolies, des douces, des dures, des violentes. Mais raconter, et souvent aussi me raconter. Comme une thérapie. Comme une douleur ou un bonheur qu'on exprime enfin et qui nous fait nous sentir plus léger.

J'ai arrêté mon métier. Celui dont j'avais tant rêvé, comme un enfant déçu.

Celui que j'exerce depuis m'a permis de ne jamais cesser de griffoner, mais plus comme avant.

Le manque s'est un jour fait trop grand. Et c'est une amie qui m'a poussée au blog. Complètement néophyte j'étais.

Il est déjà difficile de s'ouvrir, alors à des potentiels lecteurs inconnus et pire, des connus : impossible ! Finalement, j'ai sauté le pas, en me disant que je garderais cela pour moi. Mon bout de lopin secret quoi. Juste le besoin d'assouvir cette furieuse envie d'écrire. Le reste m'importait peu. Mais je me mentais à moi-même. Lorsque l'on aime écrire, et que l'on est passé par le journalisme, c'est que le fait d'être lu, entendu, écouté, a son importance.

Au fur et à mesure des articles, quelques lectrices fidèles. Jamais je n'aurai pensé que la toile aurait pu m'offrir cela. Des Amies. Oh que oui, au risque de déranger. De ces gens qui vous accompagnent, qui sont là et vous soutiennent. De belles rencontres, elles font aujourd'hui partie de ma vie, à leurs manières.

Et puis, il y a eu l'année 2014 et son flot de changements. Par la force des choses, par la violence de la vie, j'ai eu la chance de me découvrir le plus justement du monde.

Cela peut paraître bizarre, mais je sais aujourd'hui qui je suis. J'ai atteins mon bonheur, mon équilibre.

Un titre racoleur, un texte quasi indigeste, tout ça pour en venir où ?

Le fait de me planquer derrière mon blog ne collait plus avec cette nouvelle que je me suis permise de devenir.

Et j'ai eu envie de le dire, de le crier, de l'assumer. Et j'ai commencé à le faire. Avec une quinzaine de nanas, la bande élargie, avec qui je venais de passer le week-end. Par un post sur ces fameux deux jours de douce fiesta. Je me suis donnée l'occasion de les laisser découvrir cet autre moi.

J'étais fière et soulagée. Puis nerveuse et paniquée, la nature profonde ne se change réellement jamais.

Et puis, il y a eu ces quelques lignes. Celles venues d'une Amie, LA keupine d'amour :

"Alors là je dois te dire plusieurs choses : quelle belle découverte que ton blog ! Du coup hier j'y ai flâné, à lire et découvrir ta prose, tantôt douce, drôle, cynique, émue...toujours juste...comme toi.

Et du coup, j'me suis dit que y'avait des gens qui te lisaient sans te connaitre et que nous, juste à côté, on n'avait jamais eu ce privilège....petite frustration que je ne cache pas !! Mais au final, c'est un beau cadeau que tu nous as fait hier avec ce "coming out" de blog!
Continue comme ça, t'es juste une fille au top, une soeur au top, une femme au top, une maman au top, une amie au top...TIP TOP quoi !!"
Et voyez-vous, ces mot m'ont juste touchée, là où ça fait du bien. Là où la gorge se serre et où les yeux s'embuent. Parce que cette fille là mon vieux, elle est terrible, et qu'elle a tapé dans le mile. Cette nana là a écrit ce que j'avais besoin de lire. Alors merci !
Aujourd'hui, je peux le dire, sans honte ou gêne malplacée, je suis fière de moi, fière de celle que je suis devenue. Parce que je dis merci à la vie de m'avoir fait subir toutes ces épreuves, bonnes ou mauvaises. Et que je suis aujourd'hui, comme jamais, auparavant pleinement consciente de celle que je suis et de l'image que je dégage.
Serais-je devenue femme ? ;-)

 

 

14 avril 2015

Les asperges en fête

Deuxième recette dont la simplicité surprend, tant le résultat final est bluffant : les îles flottantes salées à la crème d'asperge ! De quoi se faire mousser en quelques minutes chrono...

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Pour deux personnes, prévoir :

- 7 cl de crème liquide légère,

- 10 cl de lait,

- 2 jaunes d'oeufs,

- 40 gr d'asperges vertes cuites,

- 1 blanc d'oeuf,

- Piment d'espelette,

- Sel.

Alors n'oublions pas, nous sommes en Calédonie, les asperges vertes chez nous c'est comme le caviar : on en trouve vraiment pas partout et à moins de vendre un rein, deux yeux et un bout de foie, c'est No Way ! Donc simplifions : les asperges vertes en bocal font superbement bien l'affaire !

(Si vous les acheter fraîches : les laver, les peler, et les faire cuire à l'eau bouillante salée pendant 7 à 8 minutes. Les égoutter et les passer immédiatement à l'eau froide pour préserver leur couleur verte.)

Ensuite, dans une casserole, faire chauffer le lait et la crème. Pendant ce temps, battre les jaunes d'oeufs avec un peu de sel. Verser, petit à petit, le lait et la crème sur les jaunes, tout en battant bien. Remettre dans la casserole et faire épaissir, à feu doux, sans cesser de remuer. Eteindre le feu.

Ajouter les apserges vertes, préalablement coupées, au mélange et mixer.

Il suffit ensuite de rectifier l'assaisonement, de mettre du piment à votre convenance, de, pourquoi pas, rajouter un soupçon de parmesan, une lichette de balsamique,  du Philadelphia, des herbes, ou encore une rasade d'ail ! Je vous conseille de goûter, les asperges peuvent parfois être légèrement amères.

On laisse refroidir tout ça et on réserve au frigo (à voir en fonction des goûts de chacun...).

Préchauffage du four à 180°.

Pour le blanc d'oeuf, le battre en neige ferme, avec une pincée de sel et c'est tout !

Déposer une cuillère de blanc dans, par exemple, un moule à muffin, ou autre petit récipient allant au four, et enfourner 5 minutes !

Si vous souhaitez préparer la recette avant l'arrivée de vos invités, vous pouvez préparer les blancs en avance, mais attention, encore une fois pour les "nouz'autes", à l'humidité !

Il ne reste plus qu'à verser la crème dans des verrines et à disposer une île dessus. On saupoudre d'une pincée de piment d'espelette et on envoie !

Pour réhausser un peu le tout, vous pouvez passer des tranches de bacon, au four, et en émietter des morceaux sur la crème !

Bon, ce coup-ci je n'ai pas de photo, la dégustation a été beaucoup trop vite ! ;-)

14 avril 2015

Madeleines party

Nouvelle rubrique de recettes, pour les fainéantes qui veulent épater la galerie, c'est ici ! Des Simples, parce qu'entre le boulot, les enfants, le mari, les copains/copines, le maître mot est efficacité et rapidité !

Première fournée : les Madeleines !

Souvent préparées le dimanche, en quantité suffisante pour sustenter ma fille (mon mari, moi, les copains de la cours de récré, les ptits creux du soir devant la tv...) pour toute la semaine... Pratique et économique ! Et puis c'est pas notre égo, qui dira le contraire : se la raconter un peu avec du "home made", ça claque ! ;-)

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Pour une douzaine de madeleines :

- 125 gr de beurre mou (c'est pas mal aussi de beurrer les moules, sinon le démoulage risque de vous faire grincer des dents),

- 125 gr de sucre en poudre,

- 3 oeufs,

- 1/2 sachet de levure chimique,

- 125 gr de farine.

Commencer par mélanger, dans un saladier, le beurre mou avec le sucre. Dans un bol, battre les oeufs comme pour une omelette, et les ajouter ensuite au mélange.

Ajouter farine, sel (une pincée) et levure.

Mélanger et réserver la pâte pendant 15 minutes au frais. Secret de Mamie Gertrude : pâte bien froide = jolie bosse sur les madeleines. Et une madeleine sans bosse, bah c'est pas une madeleine... (Pour les calédoniennes, le mieux est de laisser la pâte refroidir 30 minutes, ce qui vous permet d'avoir le temps de remplir les moules avant qu'elle ne se liquéfie de trop !

Mettre le four en chauffe à 210°.

Après avoir beurré les moules, si ce n'est pas déjà fait, les remplir de pâte, mais seulement aux 2/3, vos madeleines sont "censées" gonfler ! ;-)

Enfourner 8 à 10 minutes, en fonction de votre four et de la coloration.

Démouler et laisser refroidir.

Pour un effet de surprise garanti, plusieurs variantes sont possibles : la noisette de pâte à tartiner injectée après la cuisson, le petit bout de pomme/banane/kiwi...disposé au milieu du moule avant passage au four, ou encore un smarties...

Bon app' !

13 avril 2015

Ode aux bêtes à cornes

A la base il y avait deux anniversaires.

Au final, 15 nanas dans une énorme baraque louée pour un week-end.

A la base il y a eu des retrouvailles un vendredi soir, après une semaine de boulot et deux heures de route.

Au final, il y a eu des au revoirs un dimanche en début d'après-midi, repue d'amitié, de fous rires et de courbatures d'avoir trop dansé.

Au départ, il y avait 15 filles.

Au final, un troupeau de biquettes.

Au départ, il y avait des connaissances.

Au final, des affinités et des amitiés.

Au départ, il y avait des mamans, des célibataires, des jeunes mariées et des récemment séparées.

Au final, il y avait une bande de bêtes à cornes, qui ont juste su, le temps d'un week-end, se faire du bien et faire du bien à leurs congénères.

Un week-end de folie douce, de couchers tardifs, de papotages intensifs, de bubulles, de couscous et de pure plaisir.

Un week-end dont on est toutes reparties les yeux cernés, mais les batteries rechargées !

Alors merci ! aux deux instigatrices de ce fou moment et merci à toutes pour votre bonne humeur et votre simplicité !

Bêtes à cornes

 

 

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  • Jeune maman à l'autre bout du monde. L'idée de créer mon blog pour échanger, se vider, souffler, crier et surtout garder une trace de l'évolution de ma fille et de notre vie. Prendre le temps de s'attarder sur notre vie, pour mieux l'apprécier.
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